À elle (La lire triste, je paresse oublié)

La lire triste, je paresse oublié,
L'imagination dans les rêves n'évasée,
Avec les dons de suite jeunesse, mon génie à,
Et mon cœur hladelo lentement, a été fermé
Je vous ai appelé à nouveau, des jours de mon ressort,
vous, piloté par l'ombre du silence,
entreprises jours, amour, l'espoir et la tristesse douce,
quand, poésie fan tranquille,
Lyre je chantais tranquillement heureux
L'excitation de l'amour, découragement de la séparation -
Et la montagne de chêne buzz passé
Mes sons réfléchis ...
En vain! Je tirai la cargaison de paresse honteuse,
En Frigid sieste involontairement plongé,
Il a fui les joies, Il a fui de la musique douce
Et - en larmes - à la gloire de dire au revoir!
mais tout à coup, comme la foudre flèche,
Allumé au cœur flétri de Mladost,
âme éveillée, vivant,
J'ai appris à nouveau l'espoir de l'amour, la douleur et de la joie.
Tous refleuri! J'étais dans la crainte de la vie;
Nature témoin de nouveau extatique,
Je me suis senti plus vivant, respirer librement,
Plus forte vertu captivé ...
Eloge de l'amour, grâce Bogam!
Encore une fois la voix douce jeune cithare,
Et trépidation voisée chaînes de voskresnuvshie
Je suis à vos pieds!..

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Alexandre Pouchkine
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