Un prince. M. Gorchakov (Laisser aller, non znayas Apollo)

Laisser aller, non znayas Apollo,
Poète, philosophe judiciaire,
Nobles seigneurs avec un arc
Submit quitter le Strof dvesti;
Mais je, cher Gorchakov,
Je ne me réveille pas avec les coqs,
Et vers pompeux,
Gromozvuchnyh ensemble de mots,
Je ne sais pas chanter vide
très, subtilement et sournoisement,
Et n'osent pas tourner la livre
Ma - plume d'oie!
Non, non, cher prince, ne vont pas
Vous avez l'intention de consacrer;
Ce qui est à mettre dans l'eau,
Tout d'abord, ne pas exiger le gué,
Et à côté Derzhavin monter en flèche?
Je suis en train d'écrire à votre entrepôt maintenant
la poésie comme koi à une fête d'anniversaire.

Que dois-je, dire, dans le temps présent
Demandez d'un coeur pur à un ami?
Hluboka hein âge, cher prince,
enfants, femme aimable,
ou de la richesse, jours forts,
croix, étoiles de diamant, honneur?
Ne souhaitez pas, à la gloire
Vous êtes fasciné par le sang était de façon,
Pour se rendre à la lauriers et couronnes rayonnait,
Pour accéder au tonnerre de la bataille des mains du métal,
Et pour gagner pour toi,
Comme de vieux héros Nevsky,
toujours, Je me suis envolé partout après?
Ne pas convoiter poète
Ce fut un message d'accueil de la chanson,
Il est la meilleure musique jamais quitter!
Donnez-Dieu d'amour, pour vous sa vie
Animaux doux Epicure
Tenue entre Bacchus et Cupidon!
Et là - quand Stygian Breg
Flicker dans l'éloignement faible,
donner à dieu, Ainsi, dans un ravissement passionné,
Vous êtes avec une douceur langoureuse à la vue,
Iz ruk jeune Cupidon
Entrer dans le choln sombre Charon,
Je me suis endormi sur sa poitrine ... Ershova!

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Alexandre Pouchkine
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