mémoire

Lorsque la mort réduit au silence une journée bruyante,
Et la grêle Stogniy muet
Nalyazhet ombre translucide de la nuit
Et le rêve, Le prix du travail de jour,
Alors que eke en silence pour moi

Heures de veille anxieuse:
Au ralenti, la nuit venue en brûlant en moi
Serpents affres cardiaques;
rêves bouillonnent; dans l'esprit, angoisse supprimée,
excès de malheur près grave;
souvenir silencieux devant moi
Développe son long rouleau;
Et avec dégoût la lecture de ma vie,
Je tremble et malédiction,
Et se plaignant amèrement, et verser des larmes amères,
Mais les lignes les plus tristes ne se lavent pas hors.

Taux:
( 3 évaluation, moyenne 2.67 de 5 )
Partage avec tes amis:
Alexandre Pouchkine
Laissez votre commentaire 👇